J'ai l’œsophage qui brûle.
J'ai les entrailles qui tiraillent.
Les remords bloqués à l'intérieur.
Pris dans le tournant. Barricade.
D'acier, de bois, de briques. Mélange acerbe.
Archaïsme approuvé.
J'ai perdu. Putain, je sais que j'ai perdu.
On prend la peine de m'arrêter pour me le foutre à la figure.
On me déchire mes vêtements, me jette comme un malpropre.
En dehors de ce trou sordide.
J'ai l'impression qu'on me renie. On me fait payer mes maladresses.
Un bouc-émissaire. Voilà ce que je suis devenu.
J'ai au moins le mérite de parvenir à vous réunir.
Un semblant de solidarité, de communauté.
Je vous baise les mains pour vous remercier.
Jamais je ne partagerais votre dédain, votre peur accrue par le monde.
Jamais je ne me mettrais à genoux devant vous.
Car j'ai fait le choix de ne pas être faible.
# Sïana ©
Bonjour Siana
RépondreSupprimerJ’atteste ton ironie de cette société a qui va bouffer l’autre pour gagner sa place dans des rangs de la société soit dissent ranger qui un jour prendra le tours du plus pauvre de soit pour ironie du sort.
Et celui qui ta bouffer la vie, celui là partira avant toi dans la nuit éternelle.
Continue de croire et persiste à être forte maintenant sens quitté ton objectif de cette nouvelle femme en toi.
Amitiés
Edmond
Merci beaucoup pour votre très beau commentaire Edmond :)
SupprimerMaintenant que je sais ce que je veux, je ne lâcherais rien c'est promis!
Bises!